Ce document trouvé dans le registre paroissial 1751 – 1775 de la commune d’Argouges dans le sud Manche, rompt par son pittoresque la lecture parfois monotone des registres paroissiaux. Bonne lecture. Jacques Lemor
Continuer la lecture de « Argouges 1754 : Le curé mène l’enquête »Retour à Carquebut – 1634
Marguerite Le Pelley, veuve de Jean Truffaut, écuyer, sgr. de la Porte, fait réédifier la chapelle Saint-Anne en l’église de Carquebut et en contrepartie obtient des patrons, gentilshommes, prêtres et paroissiens du lieu, un droit de séance et de sépulture dans ladite chapelle pour elle et ses héritiers.
Continuer la lecture de « Retour à Carquebut – 1634 »1653 – La cloche de Saint-Pierre-Église et l’étrange Messire Vrac
Non, vous ne trouverez pas ici la bande-annonce du prochain film de Tim Burton. Cette année-là Nicolas Michel, écuyer, sr. de Hacouville, fait dresser un procès-verbal des inscriptions et armoiries figurant sur l’une des cloches logées dans le clocher de Saint-Pierre-Église, laquelle avait été baptisée en 1598.
Continuer la lecture de « 1653 – La cloche de Saint-Pierre-Église et l’étrange Messire Vrac »Tir aux pigeons à Cosqueville au 17ème siècle.
Au-delà de la généalogie, lorsque nous lisons des actes contenus dans le notariat, nous découvrons d’autres univers que celui des contrats de mariage ou des successions et partages de nos ancêtres. Parmi ceux-ci, l’un d’entre eux pourrait être intitulé : Le tir aux pigeons à Cosqueville ou une action de chasse prohibée au 17ème siècle et ses conséquences.
Continuer la lecture de « Tir aux pigeons à Cosqueville au 17ème siècle. »Le corsaire espagnol, sa victime et le notaire.
Non, il ne s’agit pas d’une fable de la Fontaine restée inédite. Le 22 avril 1741, devant le notaire de Barfleur, un capitaine anglais, captif d’un corsaire espagnol, reconnaît qu’il renonce définitivement à son navire et à sa cargaison de thé, tabac, alcool et savon, en contrepartie de sa liberté.
Continuer la lecture de « Le corsaire espagnol, sa victime et le notaire. »La fille du Corsaire
A l’initiative de Thomas, notre équipe de transcripteurs a travaillé sur le contrat de mariage passé entre Catherine Le Clerc, de Réville, fille unique et seule héritière de feu Jambe de bois, figure locale et corsaire de son état, d’une part, et Jean de Pierrepont, seigneur de Lamberville et de Gonneville, d’autre.
Mention d’un routoir à Vrasville en 1591.
Il n’est pas fréquent de trouver des mentions de routoirs dans le notariat, c’est pourquoi cet acte a immédiatement attiré mon attention. Le 29 janvier 1591, par devant Robert Lescripvain, tabellion à Réthoville, Jacques Auvrey de la paroisse d’Angoville en Saire baille à fieffe un terrain à Jean Robine de la paroisse voisine de Vrasville, avec le droit d’y aménager un routoir (mais aussi un lavoir pour son linge).
Continuer la lecture de « Mention d’un routoir à Vrasville en 1591. »Quand le registre paroissial de Saint-Germain-sur-Ay se faisait l’écho de la sécheresse de 1785.
Nos ancêtres ont eux aussi subi quelques canicules mémorables : les oies de Saint-Germain-sur-Ay, bien moins connues que leurs voisines de Pirou, en ont aussi fait les frais. Cette année là, elles avaient du souci à se faire : friandes d’une herbe qui se faisait plus rare, leur mode d’alimentation entrait en concurrence avec celui des autres animaux d’élevage. Alors les paroissiens ont dû trancher… Au propre comme au figuré.
Continuer la lecture de « Quand le registre paroissial de Saint-Germain-sur-Ay se faisait l’écho de la sécheresse de 1785. »Naufrage à Réville en 1726
En janvier 1726 la côte ouest de la France subit une tempête. C’est probablement la cause du naufrage du navire « Postillon de Bordeaux » sur les côtes de Réville, qui coûte la vie à son capitaine, dont le corps est retrouvé sur le rivage plusieurs jours après, comme le relate le registre paroissial du lieu.
Continuer la lecture de « Naufrage à Réville en 1726 »