Par Gilles POTIER (Photos de l’auteur sauf mention contraire).

Par Gilles POTIER (Photos de l’auteur sauf mention contraire).

Par Christophe CANIVET
Lorsque les Parisiens s’emparent de la Bastille, le 14 juillet 1789, à vrai dire surtout intéressés par les armes et munitions qui y sont entreposées, ils sont fort marris du faible nombre et de la qualité des prisonniers qu’ils peuvent libérer. Tout au long des décennies qui viennent de s’écouler, les écrits se sont multipliés pour dénoncer ce symbole de l’arbitraire et de la tyrannie, ses lettres de cachet, ses détenus sans jugement et j’en passe… Or, en cette mi-juillet 1789, la Bastille ne compte que sept prisonniers : quatre faussaires, dont le procès est en cours d’instruction, deux fous et un comte enfermé à la demande de sa famille, dit-on pour inceste[1]. Quelques « pensionnaires », comme les aventuriers Donatien Alphonse Français, marquis de Sade, ou Anne-Gédéon Lafitte de Pelleport, viennent tout juste d’en être libérés ou d’en être transférés. Mais qu’importe ! La prise est symbolique. La légende noire de la Bastille fera le reste.

Par Nicolas BERTRAND & Thomas GAUTHRON
En 1811 Nicolas Feron, ancêtres de Nicolas, est canonnier garde côte dans la 19ème compagnie de l’armée Napoléonienne.


Par Alain AUBRIL
En complément à la lecture de l’article https://genea50.fr/le-quart-bouillon-a-carantilly/ Alain nous partage un laissez passer pour le transport du sel du 17/06/1727:

Par Christophe CANIVET

Actes découverts par Isabelle Lévêque
p36/100 – https://www.archives-manche.fr/ark:57115/s005e6cafae79cbc/5e6cafaf8c2ee.fiche

Naissance d’Anne

puis de Denise et Marie autres filles gemelles

et enfin de Françoise
Notons que l’ainée est née le 13 février alors que les 3 autres le lendemain le 14 février.
Les grossesses multiples sont à risque et malheureusement les 4 enfants sont morts très rapidement.
Par Gilles POTIER
