Généa50

Voici les nouveautés du mois de janvier pour la bibliothèque de Genea50 :

• « L’histoire de France vécue par douze familles », ou ‘quand la petite histoire se marie à la grande’, que vient de publier Edisens. Nicolas Saudray, haut fonctionnaire, romancier et essayiste normand, nous propose une promenade, bien documentée, à travers l’Histoire de France, au côté de douze familles dont il est lui-même issu. Notons tout particulièrement la lignée des Heuzey (ou Heusé), nom de famille bien connu chez Généa50, dont le premier ancêtre identifié dans la généalogie de l’auteur apparaît dans le Cotentin en plein guerre de Cent Ans. Une acquisition réalisée sur les recommandations de Maryvonne ;
• « Hémévez en Cotentin », publié par la Mairie d’Hémévez en 2020. Ce livret, qui regroupe des articles écrits par trois ‘pointures’ de l’histoire du Cotentin, Laurent Paez-Resende, Julien Deshayes et Jean Barros, nous plonge dans la riche histoire de cette commune. Cet ouvrage nous a été offert par Jean-Marc Joly, membre de Généa50 et ancien maire d’Hémévez, que nous remercions ici ;
• « Travail, familles, poterie en Nord-Cotentin, XVIe siècle-1er empire », publié par la SAHM en 2002. Patrice Mouchel-Vallon présente une analyse comparée des communautés potières de Sauxemesnil et de Néhou, à partir d’une reconstitution de leur milieu familial et socio-professionnel. Cette monographie constitue un ouvrage historique de référence pour ceux d’entre nous qui étudient les lignées Mouchel et Lepoittevin (Sauxemesnil), ainsi que Travers (Néhou) ;
• « Le français régional de Gilles Gouberville et le nôtre », Cahier Goubervillien n°8 – novembre 2004. René Lepelley, linguiste normand que l’on ne présente plus, identifie et commente un certain nombre de termes du français régional du XVIe siècle, celui du Journal de Gilles de Gouberville, qui sont encore en usage dans le français régional d’aujourd’hui, c’est-à-dire notre patois du Nord-Cotentin.

Je vous rappelle que vous pouvez retrouver les nouveautés ici : Nouveautés

Bonne lecture à tous,

Christian Duhoux