Actes insolites découvert par Michèle Duthy (transcription en dessous).
Transcriptions Michèle Duthy et Pierre-Yves Jolivet.
Récit de voyage maritime
Acte insolite découvert par Michèle Duthy (transcription ci-dessous).
Dans le registre de Aucey-la-Plaine de 1663… est ce peu de temps après le récit ou juste une recopie d’un texte plus ancien ?
Tonnerre sur Aucey la Plaine
Le 1er septembre 1779.
Acte insolite découvert par Michèle Duthy (transcription ci-après).
Acte de décès édifiant
Découvert par Michèle Duthy, un acte d’inhumation rare où le curé indique une fin de vie courageuse et douloureuse avec la mort comme délivrance (utilisation du mot « enfin ») :
Continuer la lecture de « Acte de décès édifiant »Les naufragés de Surtainville (12 janvier 1812)
La nuit du 12 janvier 1812, vers deux heures du matin, plusieurs hommes sont jetés à la côte sur la plage de Surtainville, « naufragé(s) en se sauvant en France ». A 10 h du matin, le maire de Surtainville enregistre le décès de quatre d’entre eux, morts « sur le rivage de la commune », sur la déclaration de deux survivants (ne sachant écrire), soldats du 48 RIL faits prisonniers à Flessingue :
Continuer la lecture de « Les naufragés de Surtainville (12 janvier 1812) »Nouveautés de la bibliothèque – Novembre 2024
Voici les nouveautés du mois de novembre pour la bibliothèque de Genea50 :
- « Féodalités (888-1180) » de la collection ‘Histoire de France’ aux éditions Belin. Dans son ouvrage monumental de 800 pages, Florian Mazel, historien spécialiste de l’histoire sociale du IXe au XIIIe siècle, titulaire d’une chaire d’histoire médiévale de l’université de Paris-Sorbonne, nous présente cette évolution féodale qui s’est articulée sur les deux inflexions majeures que sont la décomposition de l’ordre carolingien, à partir de la fin du IXe siècle , et la réforme grégorienne, dans la seconde moitié du XIe siècle ;
- « La Couplière », vacances au Mazurenland, 1940-1945. Dans le prolongement de la conférence « Destins Croisés » proposée par Généa50 le 14 septembre dernier, sur la vie de Paul et Madeleine Saillard, qui ont été instituteurs à Fermanville entre 1945 et 1960, nous présentons ici le récit des 5 ans de captivité en Allemagne de Paul Saillard (ce livre nous a été donné par les enfants de Paul Saillard à l’issue de la conférence) ;
- « Julien et Maguerite de Ravalet », un drame passionnel sous Henri IV (1582-1603). Réédition, en fac-similé par Isoète en 1992, du livre de Tancrede Martel paru en 1920 aux éditions Alphonse Lemerre. S’appuyant sur des documents et des actes de l’époque, l’auteur nous raconte l’histoire tragique de Julien de Ravalet, jeune gentilhomme de Tourlaville, et de sa sœur Marguerite, qui furent décapités en place de Grève à Paris en 1603, après que Henry IV ait refusé leur grâce. Rappelons que ce drame a inspiré de nombreux auteurs, de Barbey d’Aurevilly à François Truffaut ;
- « L’univers goubervillien et son engagement dans la guerre civile à partir de 1589 », Cahier Goubervillien n°17 – novembre 2014. Gilles de Gouberville a été le spectateur, voire l’acteur local, notamment en 1562, des troubles qui préfigurent la guerre civile à venir. Patrice Mouchel-Vallon nous plonge ici au cœur des événements qui secouèrent le Cotentin pour la génération postérieure à celle de Gilles.
Je vous rappelle que vous pouvez retrouver les nouveautés ici : Nouveautés
Bonne lecture à tous,
Christian Duhoux
Cours de paléographie Généa50
Revue de Presse
Ouest-France, le 11 octobre 2024
À Fermanville, entre histoire et généalogie avec l’association Généa 50
20241011 – OUEST FRANCE – A Fermanville, entre histoire et généalogie avec l’association Généa 50Télécharger
L’histoire et la généalogie de la Manche n’ont plus de secret pour l’association de Fermanville (Manche) : Généa 50. Depuis cinq ans, l’association a collecté plus de 3 000 livres sur la Manche et 1 600 000 individus dans la base de généalogie.
Étudier, développer, coordonner et diffuser la recherche généalogique et historique en relation avec les habitants passés ou présents du département de la Manche est une des priorités de l’association Généa 50 et de ses membres, à Fermanville (Manche).
Pour Pascal Levieux et Pierre-Yves Jolivet, président et vice-président en charge des recherches historiques, tout est parti d’un forum de discussion sur internet basé sur la généalogie. « On a alors décidé de créer l’association en 2019 avec des personnes physiques. Aujourd’hui, nous comptons 1 600 000 personnes qui ont été citées sur la base de données de l’association. » 2019 a aussi été l’occasion pour Généa 50 d’acquérir un fond d’ouvrage de 2 000 livres sur l’histoire de la Manche.
De nombreux documents
Une association qui travaille à acquérir, conserver et mettre à disposition des fonds documentaires destinés à faciliter les recherches des adhérents. « On a installé notre bibliothèque de 3 000 livres sur l’histoire de la Manche et la généalogie dans la salle Marie-Ravenel », poursuit Pierre-Yves Jolivet, qui propose également de nombreux relevés de baptêmes, mariage et décès de la Manche.
Lire aussi : « La généalogie est un besoin » : dans la Manche, ils se lancent sur la trace de leurs ancêtres
La généalogie est aussi en ligne. « On explique comment gérer et développer la base de données collaborative. » L’association propose aussi, une fois par mois, des ateliers d’initiation à la généalogie. « On a ouvert des antennes de ces ateliers à Néville et au magasin Cora d’Octeville. »
Focus sur Val-de-Saire
Des ateliers de paléographie sont aussi proposés mensuellement. « Ils sont indispensables pour déchiffrer les vieux documents, jusqu’au XVe siècle », insiste Pierre-Yves Jolivet, qui évoque une bibliothèque en place avec l’idée d’aider les étudiants lors de leurs recherches historiques sur le département. « Ce serait un nouveau public pour l’association. »
Lire aussi : « En quelques heures, on peut remonter jusqu’à la Révolution » : comment la généalogie se modernise
Généa 50 se félicite de procéder 150 registres notariaux récupérés aux archives départementales et ailleurs. « Tout est sur notre site : généa50.fr. » Pierre-Yves Jolivet, avec ses 200 adhérents, souhaite aussi créer un pôle de recherches historiques sur l’histoire du pays de Saire. « C’est important de mieux connaître l’histoire du Val-de-Saire. C’est un moyen pour que les habitants s’intéressent à leur territoire. »
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